lʼart dʼescargoter
Le cinéma transalpin est bien vivant, comme en témoigne cette sélection de films singuliers et audacieux
Dolce Cinema
L’histoire n’est pas faite de « et si » ? Qui a dit cela ? (Nanni Moretti)
Vers un avenir radieux ? Et si on en décidait ainsi ? La programmation de cette édition regroupe un panel de films qui s’inscrivent dans une courbe positive, pour la plupart inédits en France, des productions riches et originales :
Des œuvres premières présentées en compétition
Des films sur la littérature, le théâtre ou la musique
Des parcours de jeunes ou moins jeunes, reflets de la société actuelle
Des avant-premières de films attendus sur les écrans français
Si les œuvres récentes sont donc à l’honneur, avec même deux films en avant-première (Io Capitano de de Matteo Garrone et La Chimera d’Alice Rohrwacher, 2023), le festival n’oublie pas de rendre hommage au patrimoine du cinéma transalpin. Figurent ainsi à l’affiche Il Postino (Le facteur, de Michael Radford, 1994), Il Conformista (Le Conformiste, de Bernardo Bertolucci, 1970), et Teorema (Théorème, de Pier Paolo Pasolini, 1968).